Parmi les innovations technologiques les plus intéressantes qui sont appliquées vis-à-vis du domaine bancaire de la finance, la thématique de ce que l’on nomme l’intelligence cognitive est véritablement en train de faire fonctionnement au point les organisations syndicales commencent à s’inquiéter de l’utilisation de plus systématique de ces nouveaux robots intelligents qui commencent déjà à remplacer les humains dans certaines banques d’affaires.
Des robots hyper intelligents
Alors que cela relevait encore de la science-fiction il y a quelques années, la réalité a fait son chemin et aujourd’hui, on voit fleurir de plus en plus de sociétés qui proposent ni plus ni moins aux entreprises financières de se doter de robots intelligents capables de voir effectuer des opérations de grande complexité que ce soit par exemple dans la gestion de la relation client mais également dans le cadre de la mise en place d’opérations financières complexes et sophistiquées.
Une nouvelle conception de la relation clientèle
Par exemple, certaines compagnies d’assurances se sont associées avec des start-up afin de pouvoir mieux comprendre mieux gérer la relation clientèle notamment par le biais du courrier électronique. Aussi, la solution met en place un système qui va analyser la logique sémantique des clients en vue de pouvoir proposer des réponses à l’instar d’un humain et en ayant pour but ultime la faction de ce dernier.
Par exemple, le logiciel a été mis en place sur la base d’une analyse de plusieurs dizaines de milliers courrier électroniques clients, ce qui a permis de pouvoir comprendre les différentes problématiques de ces dernières de proposer des solutions adaptées.
Pour l’instant, les résultats sont assez intéressants, même s’il ne remplace pas la sensibilité humaine, mais on peut facilement imaginer que dans les années à venir, la robotique va aussi s’orienter vers le monde de la finance comme c’est déjà le cas avec l’utilisation de super-ordinateurs pour passer des ordres de bourse de manière très rapide et en grande quantité.