Les applis numériques comme Uber ou SnapCar ont modifié l’exercice de la profession de chauffeur VTC. Par conséquent le législateur a adapté les conditions d’obtention de la carte professionnelle VTC. Depuis le 05/04/2016 l’activité de chauffeur VTC est soumise à l’obtention d’un examen. Suivre une formation VTC à Paris dans un centre agréé maximise le taux de réussite à cet examen obligatoire.
Avec l’annulation du décret du conseil d’Etat, les nouvelles technologies au cœur des transformations du métier de chauffeur VTC
Le métier de chauffeur VTC a connu plus d’une innovation ces dernières années :
rapports et projet de loi dont celui de la Commission présidée par Paul Chanteguet se sont succédés. Avec l’objectif d’arriver à une régulation et une simplification du secteur du transport public particulier de personnes. Officialisée début avril 2017 par la publication au journal officiel d’un décret et quatre arrêtés. Par ailleurs les activités de mise en relation des centrales de réservation sont en passe d’être encadrées avec obligations de vérification de la validité des cartes professionnelles VTC à l’exclusion des chauffeurs LOTI. La loi de 2014 fixait déjà à plusieurs milliers d’euros tout manquement aux conditions d’installation dans la profession. Face à ces remaniements, la réponse à : comment optimiser ses chances de réussir l’examen semble logiquement être : suivre une formation VTC à Paris.
Procédure accélérée fin 2016 et règle d’ordre public pour responsabiliser les plateformes instaurant des clauses d’exclusivité
Le projet de loi a pour mission d’encadrer la fonction des taxis et des chauffeur VTC. Avec ce texte, il ne sera plus possible d’interdire aux professionnels du transport public, chauffeurs VTC et taxis d’aller chercher un client qui les a appelés via une application numérique. C’est un rebondissement de plus dans ce secteur déjà au coeur de la vie politique avec l’annulation par le conseil d’état du décret interdisant aux VTC de signaler leur disponibilité par voie électronique. Alors que les taxis se plaignent d’une baisse de leur chiffre d’affaires de 20 à 40 %, celle-ci semble antérieure à l’arrivée des VTC. Le monde des chauffeurs dans son ensemble espèrent de nouvelles mesures à la veille de l’élection présidentielle pour une concurrence plus saine dans la profession.